Ankarana, tsingy, perte des rivières
Le campement chez Aurélien offre le gîte et le couvert. L'hébergement est rustique. L'eau est tirée des puits et l'électricité distribuée avec parcimonie, uniquement en soirée. Dans la campagne la fleur pourpre de perichlaena richardii se détache sur les herbes sèches.
Les lémuriens se cachent dans le creux des arbres. Ce n'est pas du lichen blanc mais bien des insectes, sûrement des "flatidae".
A l'entrée des tsingy la végétation résiste à la sècheresse. Les adénias, pachypodiums et euphorbes poussent au milieu des lapiaz.
Notre destination apparaît au milieu des tsingy aux arêtes tranchantes.
Deux passerelles permettent de franchir un petit canyon. Des spaghettis bolognaises au zébus, en pique-nique pour reprendre des forces.
Le gouffre de la perte des rivières. Ici se perdent les cours de trois rivières à la saison des pluies. La base massive d'un figuier.
Une fougère épiphyte, une liane avec de beaux crochets. Sur la rn6 en remontant vers Diego Suarez.
Préparation d'un champ avant la saison des pluies. De nombreux feux dévastent la campagne en raison de la sécheresse.
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